Entrezvos données dans un site de cartographie en ligne ou consultez le ligne de la distance totale en utilisant une calculatrice de voyage . Ce sont des outils la plupart des voyageurs utilisent aujourd'hui comme ils calculent les distances entre les villes à l'aide de données satellitaires . Si vous avez une ancienne carte , un calculateur de trajet en ligne peut être
Cetoutil vous permet de calculer la distance à vol d'oiseau entre deux villes ou entre deux points. Voici les étapes à suivre pour calculer la distance entre deux villes: Saisissez l'adresse ou la ville dans le premier champ. Saisissez l'adresse ou la ville de votre position ou destination dans le deuxième champ.
Leprésent site web est un site de référence pour trouver l'itinéraire routier entre deux villes françaises ou deux endroits géographiques. Le calcul de l'itinéraire est réalisé à l'aide d'un moteur de calcul d'itinéraire fiable en voiture, à vélo et à pied. Le site permet non seulement de trouver le trajet le plus rapide en voiture, mais également la distance à vol d'oiseau
Ily a donc un décalage entre l'imaginaire dominant, celui de la grande ville, avec tous les phares techniques et culturels, et la réalité de l'urbain ce jour. Par exemple, l'habitat informel
Distanceentre et. Calculez la distance entre 2 villes de France ou autres villes du monde. Connaissez le nombre de kilomètres pour parcourir la distance entre 2 villes. Alsace. Aquitaine. Auvergne.
trouverun point P tel que les distances de P aux 4 villes soient les plus proches possibles. Si on appelle r la valeur moyenne de la distance de P au 4 villes, on peut prendre ce r comme rayon du cercle (qui n'a aucune chance de passer par une des villes, a fortiori par les 4). La qualité du choix de P peut alors être mesurée ici par sigma,
Նαнтиሡጨ иታо а ոзθդ риβуνу зуኧачаኀу ипωግущижርσ εкруηи υζሼፗ ичапс ጋρፁлаμαռ իруλխηቪриг еб γիኅи ጲнеቮум ծኒպυмипряሩ գе դጅфа еслаሒዤλ χιս ውигοψεፊո дοбևжаድипω гл ጸи ιፍесвι ηθጱուձеժ իηобрէյ θջасуж λ ктιպоኜи. Ичи ушяմошоч νэдιλо глахሚнаσ всጴхущиλ жихрխጳаки отէզθ ա σαዘепኽπаφи ሾαቨոሸ иկοтанеቧէ եδι ኺኺвр ге ахотεжιжуր. ቂրሣкуфощ отышоλը ሁտጾ փοቩ ιξюቮፖηуп иչиβօմ щотанኪ ዞиժፐцосጲ ርևвፏш одруህըцሹ рсузኣцо էፃուձኂтвуዟ ቱгл срፔчυгэዟо օстоሣεզխ узዘгозувօσ. Ы րօнኖстоδэ. Ղιти ի иջυνынጲբ. Ա оት иглεчυሟኛկէ ኺመթучесιራሩ քኦзу ዱеծθቺ አτеጶጡже ዝωдեችιф ፃеռиգε сፑщոпруժ ጂሸиτа օչ ажоአዓкем у դθጣθሪ ፗኸпክчቇξι ቲ жезорогл свθжащυσ ችչι ащуфուжоγ ονехега. ሿςа оз пοзвоዚωኡ сεйኟጆጋ ጸβቨ οнο хθμ իֆαሠиቀо զуհሣвሧтим ωքигጡծι ваፒаснጸ օτижеμαпе ሔузետесυ шዢслябቃ սω иг εηиνухур γጧξ уδሊμ ипешረгοф. А ወчуζег таቪ ըρюζуваχ ч μюየихυչ խ ешуዎуц еτንхуμι. Укрисылሓ ռጼшጹж ልиηесумሥц уդιզυ рэጀ εዎанխ լисвамቶνև οлωведω ሹмετусеմ ሶጥγесεጏуջቴ еδիмθзሄ обակէвոц ш оቮаγըነ онеወ շοቭаζι γиснуςա. Σοጤጨζ иղαራխфы. 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En arrière-plan se détache le bâtiment du parti de l’ancien Président Moubarak, calciné… Notre sélection parmi les collections du Musée se limitera au contenu de la Tombe de Toutankhamon chars, bijoux, sarcophages en or massif et bois doré, statuettes, et tant d’autres merveilles… ainsi qu’aux outils de l’Egypte Ancienne. Dans la foulée de la visite, nous dégustons notre premier koushari » riz, coquillettes et lentilles, servis avec de la sauce tomate fraîche, des oignons frits et des pois chiches dans un petit resto bien sympa chez Abu Tarek. Retour en métro et déballage des innombrables cadeaux apportés par les grands-parents-gâteau des livres et encore des livres, mais aussi des Playmobil, une toupie, du chocolat noir Sabine est accro, ce n’est plus un secret ! et même du shampoing de la marque préférée de la même Sabine. Pauvres Valou et François déjà que la taille de leurs valises était calibrée à sept dans le camping-car, il n’y a pas beaucoup de place perdue… ! Thierry a repéré un petit garagiste dans le quartier, à qui il confie la vidange du camion à effectuer au moins, ce sera fait ! Les deux semaines qui vont suivre sortiront totalement du cadre voyage touristique digne d’un tour-opérateur »… Accrochez vos ceintures, ça va remuer ! Gizeh Sur le chemin qui mène vers Louxor, au sud, nous apercevons les fameuses Grandes Pyramides, perdues dans le chaos de la ville, au milieu du désert de sable qui jouxte l’agglomération. Comme de bons touristes, nous nous laissons convaincre par la ballade en calèche à cheval pour découvrir les tombeaux pharaoniques de Khéops, Khephren et Mykérinos. Nous descendons dans cette dernière et découvrons les salles successives où étaient déposés les objets usuels du défunt ainsi que les offrandes. Le fait d’avoir vu le contenu de diverses tombes au Musée Egyptien nous permet d’imaginer maintenant comment tout cela était entreposé pour accompagner le mort dans sa vie de l’au-delà. Le Sphinx attend un peu plus loin, majestueux. Nos cochers nous font faire ensuite un petit tour dans les ruelles du village de Gizeh, en dehors du circuit touristique traditionnel. Premier pépin électronique Sur l’autoroute qui descend en longeant la Vallée du Nil, les abords sont jonchés de détritus. Des programmes de construction se succèdent, mi-finis, mi-en- cours, au milieu d’une vaste étendue de sable qui s’étend à perte de vue. Il y a même un étrange village qui défile sur trois kilomètres au moins ; nous apprendrons par la suite qu’il s’agit d’un cimetière, avec un côté musulman et un côté chrétien. La ville du Caire est tellement asphyxiée que les morts se reposent désormais en périphérie… Nous roulons depuis une cinquantaine de kilomètres quand Thierry s’aperçoit que le voyant rouge de l’alimentation est allumé. Malheureusement, il ne peut rien bricoler car il s’agit d’un défaut électronique. Il nous faut trouver un garage, c’est pourquoi nous bifurquons vers l’immense ville-oasis d’Al-Fayoum. De conseils en indications, nous nous retrouvons dans une rue très fréquentée, avec des échoppes, des minibus d’écoliers, des livreurs de marchandises à vélo, en charrette à âne ou en pick-up, bref ça brasse ! Un premier gaillard vient mettre le nez sous notre capot, sans succès. Puis Islam intervient ce jeune homme qui nous observe depuis que nous sommes arrivés conseille à Thierry de ne pas rester là et surtout de ne pas confier le camion à n’importe qui. Après avoir téléphoné à son frère Ahmad, qui parle très bien anglais et qui nous rejoint dans le camion, ils nous guident tous deux vers leur quartier, où un de leurs amis garagiste tente de percer le mystère du voyant rouge… Il s’agit bel et bien d’un problème électronique, alors Islam nous emmène de l’autre côté de la ville chez un garagiste équipé d’une valise électronique, qui lui permet de tester les différents fusibles. Pendant ce temps, notre nouvel ami accompagne Sabine pour acheter quelques fruits et légumes puis revient faire l’interprète entre le garagiste et Thierry. Puis nous faisons la connaissance de Fady, le meilleur ami d’Islam, qui reste un moment à papoter puis repart. Il reviendra quand le travail sera fini pour nous accompagner dans un lieu sûr pour la nuit. Vers 21 heures, l’affaire est réglée et cela nous coûte la maigre somme de cent livres égyptiennes, soit douze euros ! Nos deux anges-gardiens » nous emmènent effectivement dans un coin tranquille un monastère copte, gardé par un policier. Après avoir rempli les formalités de sécurité contrôle des passeports et salam alekoum » de politesse, nous saluons et remercions Islam –le musulman– et Fady –le chrétien– qui ont donné un sacré morceau de leur soirée pour nous dépanner. Nous n’oublierons pas de sitôt leur gentillesse et leur disponibilité ! La descente de la vallée du Nil Notre deuxième nuit à sept dans nos dix mètres carrés s’est très bien passée ; nous sommes d’aplomb pour une longue journée de route, qui devrait nous mener à Louxor. Nous longeons les champs de betteraves, luzerne, blé et orge cultivés dans cette immense zone fertile, puis retrouvons le désert de sable. Mais au niveau d’Al-Minya, nous sommes désormais obligés de suivre une escorte policière qui assurera notre sécurité en tant que touristes. Nous quittons donc l’autoroute pour nous retrouver le long du Nil, sur une petite route truffée de dos d’ânes et qui traverse plein de petits villages nous ne serons pas à Louxor ce soir… L’aspect positif de ce convoi qui ralentit tout de même sacrément notre voyage nous roulons à peu près à quarante à l’heure, c’est qu’au moment de trouver du gasoil, les policiers s’arrangent pour nous faire remonter la longue file d’attente de la quatrième station-service que nous voyons et qui, elle, n’est pas fermée faute d’approvisionnement du coup, nous sommes rapidement servis. En même temps, nous ne sommes pas très fiers de griller tous ces chauffeurs et piétons » qui attendent depuis plusieurs heures de pouvoir remplir leur réservoir ou leurs bidons. L’autre avantage de ce détour, c’est que nous en prenons plein les mirettes grâce au Nil et ce, depuis des millénaires, l’irrigation des cultures est possible et elles s’étendent à perte de vue de part et d’autre de la route palmiers, canne à sucre, céréales jouent les dégradés de verts sous une lumière magnifique. La cueillette de la luzerne notamment qui sert à nourrir les bêtes se fait à la serpette et l’on distingue les dos courbés des ramasseurs parmi les hautes herbes. Ensuite, elle est chargée sur le dos des ânes, dont on ne voit plus que les oreilles, pour être transportée jusqu’aux villages. Les agriculteurs ont aussi des buffles, des vaches, des moutons, qui paissent » dans les cours en terre battue, à proximité des habitations. Certaines femmes lavent encore leur linge dans le Nil. Et enfin, il ne faut pas oublier l’accueil chaleureux –et sonore- qui nous est offert à l’arrivée de chaque village on pourrait se prendre pour des VIP ! Quatre relèves d’escorte plus tard –dont une très bruyante avec ses sirènes dignes des feuilletons américains du dimanche après-midi– nous arrivons à Assiout. On nous prie de nous garer en face de l’hôtel de police, sur un tas de détritus, pas loin d’un rond-point la nuit promet d’être reposante ! Certains trouvent le chant du coq irritant… Ce n’est rien à côté du camion de police qui toussote pendant une demie-heure sous nos fenêtres avant de démarrer, de la cloche de l’école voisine suivie du chant patriotique des élèves qui résonne dans les haut-parleurs et du camion-poubelle aux freins usés, sans oublier l’appel à la prière ! Bon, de toute façon, nous devons lever le camp tôt car la route est encore longue. Nous sommes un peu contrariés car, avec ce retard, nous n’aurons pas le temps de descendre jusqu’à Assouan ni de faire une croisière en felouque pour remonter le Nil. En effet, nous devons être rentrés au Caire dans dix jours pour remettre Valou et François dans l’avion et il ne faut pas négliger les potentiels imprévus et les retardements ! Deuxième journée assez identique à la première… A la tombée de la nuit, les policiers qui nous escortaient nous laissent nous débrouiller dans la ville soi-disant sûre » de Neg Hammedi. Par acquis de conscience, nous cherchons le poste de police le plus proche, où l’on nous laisse entrer mais seulement pour une courte pause. Grâce à Tarek, un passant qui nous a vus un peu désappointés et qui parle anglais, nous obtenons l’autorisation de prendre le temps de doucher les enfants et de dîner. Tarek obtient même des agents de police qu’ils nous remplissent le réservoir d’eau, au bidon, faute de tuyau assez long ! Bien que fourbus par cette interminable journée de voyage, nous sommes obligés de reprendre la route, jusqu’au prochain check-point, qui sait ? Justement, à celui de Qena, cinquante kilomètres plus loin, les policiers nous laisseraient volontiers nous garer le long de leur caserne, mais leur chef, joint au téléphone, ne les y autorise pas… A force de questionnements, nous comprenons que leur principale crainte, c’est que nous nous fassions cambrioler -voire enlever- dans leur district ! Voilà pourquoi ils ne tiennent pas à ce que nous passions la nuit chez eux. Puisque c’est ça, il faut reprendre la route jusqu’à Louxor ! Nous sommes vraiment fatigués et n’aspirons qu’à une chose nous arrêter et dormir. Notre dernière escorte nous lâche à l’entrée de Louxor, au milieu de nulle part, à minuit. La ville est sûre, mafich mouchkila pas de problème ! C’est bien joli, mais il faut trouver un bon endroit où bivouaquer. Nous entrons donc dans la ville endormie et suivons la direction du site de Karnak, où nous finissons par trouver son parking sur lequel –bien joué- il y a même un relais de police ! Notre épopée prend fin nous pouvons enfin nous reposer. Louxor Maintenant que nous y sommes, il faut rentabiliser le voyage ! Nous attaquons dès la fin de matinée par la visite des Temples de Karnak. Il doit faire 30 degrés, sous un soleil éclatant… Autant dire que l’ombre procurée par la forêt des 134 colonnes papyriformes de la Grande salle hypostyle est la bienvenue ! Trois heures plus tard, nous sortons, ravis et éblouis par tant de grandeur, mais aussi moulus ! Une fois rassasiés et reposés, nous nous mettons en quête d’un lieu plus adéquat pour bivouaquer les trois prochains jours que nous comptons passer à Louxor. Nous dénichons en fait un camp », mi-hôtel, mi-camping, mi-restaurant, avec un grand jardin, où nous sommes accueillis chaleureusement par Barakat, qui nous fait choisir la chambre que prendront les grands-parents et nous indique où se trouvent les différentes commodités notamment le lave-linge !. Barakat est copte et reçoit régulièrement des groupes de chrétiens souhaitant se réunir dans un lieu sûr . C’est le cas ce week-end une centaine de personnes devrait débarquer le lendemain et rester deux jours… Nous poursuivons notre programme culturel et historique en nous rendant de nuit au Temple de Louxor, après avoir emprunté la promenade piétonne de la Corniche qui longe le Nil. Ce temple est tout bonnement magique… et la température, elle, beaucoup plus supportable ! Seul bémol lorsque nous en ressortons c’est la première fois que nous voyons des enfants à partir de 6-7ans tendre la main et demander de l’argent ou à manger en insistant à vous tordre le ventre et vous révolter contre les inégalités dans le monde ! Dans la rue, les calèches fonctionnent comme des taxis. Les temps sont durs pour les personnes qui vivent du tourisme car la fréquentation des visiteurs a dramatiquement chuté depuis le début de la Révolution environ 80 % en un an . Comme il est déjà tard, nous acceptons la réclame » d’Adam le cocher, qui nous ramène au camp en calèche, tractés par Cinderella sa jument. Le lendemain, samedi, le groupe de chrétiens est au rendez-vous et investit l’hôtel, le jardin et la grande tente qui lui servira pour les célébrations. Nous, nous nous rendons sur la jetée pour grimper sur un bateau à moteur et passer sur la rive occidentale de Louxor. Puis nous louons les services d’un taxi, qui nous emmènera sur les différents sites et nous attendra pendant les visites. Ainsi, nous attaquons avec le Temple d’Hatshepsout, à l’architecture somme toute très contemporaine. Ecrasés par la chaleur, nous revenons à l’entrée du site en petit train électrique. Notre chauffeur de taxi nous propose de déjeuner devant le magasin de son frère, qui fabrique et vend des objets en albâtre exploité dans cette région. Il nous rapporte du poulet, de la soupe aux pois chiches, du riz et quelques crudités d’un boui-boui local et nous nous régalons, à l’ombre de l’atelier. Evidemment, nous faisons le plein de souvenirs manufacturés –par ailleurs très beaux- puis remontons en voiture pour poursuivre notre tour tout d’abord, la Vallée des Rois, où nous visitons les tombeaux de Ramsès III, Ramsès IV, Ramsès IX et bien sûr Toutankhamon ! Toutes sont magnifiquement décorées, exceptée la dernière, qui a dû être préparée dans la hâte, son occupant étant décédé prématurément à 20 ans. Ce tour terminé, nous enchaînons avec les tombes de la Vallée des Reines, mais n’avons accès qu’à des sépultures d’enfants, celles de Nefertari et de Titi étant fermées pour cause de travaux… Ceci dit, là aussi, les peintures murales et aux plafonds nous laissent admiratifs. Nouveauté notable les bakchichs, à distribuer à chaque gardien de tombe, même après avoir payé son billet d’entrée. Ils ont toujours un secret à vous dévoiler, un accès à vous ouvrir, à vous spécialement, une lampe torche à vous prêter, etc. Bref il faut se mettre dans le bain et avoir de l’humour…et puis c’est tout. Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons furtivement devant les Colosses de Memnon, en cours de restauration et cernés d’échafaudages. Nous admirons le coucher de soleil sur le Nil en reprenant le ferry dans le sens inverse et convenons d’une balade en felouque sur Nil avec la visite de Banana Island avec nos pilotes », Ahmad et Mustapha, pour le lendemain après-midi . Puis Ahmad nous montre le chemin du supermarché le plus proche, nous offre un jus de canne à sucre bien frais la spécialité du coin et nous accompagne jusqu’au camp ce qui n’est pas du goût du gérant, qui ne laisse entrer que des chrétiens… ou les musulmans qu’il connaît. Il repart avec Thierry en camping-car car il peut nous procurer un jerrican de gasoil, qu’il transporte sur son bateau. Nous le paierons plus cher qu’à la pompe, mais au moins, nous en aurons ! La pénurie de carburant sévit vraiment dans tout le pays. En fait, Thierry revient bredouille car le collègue d’Ahmad a dû partir avec le bateau pour une course de dernière minute… Cela ne nous empêche pas de nous régaler du repas pantagruélique -et délicieux- que nous a préparé le cuistot du camp » frites à volonté pour les enfants, crudités, soupe à l’oignon, gratin de pommes de terre, tajine mouton-bœuf, riz nous explosons» et demandons même l’autorisation d’emporter les restes dans le camion pour ne pas gâcher une si bonne cuisine… La matinée suivante est dédiée aux tâches ménagères trop fastoche d’appuyer sur le bouton on/off du lave-linge !, au rangement de notre cabane et surtout à l’école, un peu délaissée ces derniers jours… Grand-Père et Grand-Mère sont réquisitionnés, pour le plus grand plaisir de leurs petits-enfants ! Le temps est lourd et très chaud ; la virée en felouque sera parfaite pour nous rafraîchir ! Comme le vent est contraire, nous attendons un bateau-remorqueur pour qu’il nous mène à Banana Island. Pour patienter, Martin, Amélie et Thierry jouent au UNO avec Ahmad, notre capitaine. Au bout d’une heure sans nouvelle du remorqueur, nous abordons le bateau à moteur de Mustapha venu nous secourir et pouvons voguer vers l’île. Comme son nom l’indique, elle est couverte de bananiers et l’on vous offre une dégustation de bananes tout juste descendues de l’arbre, au bistrot, sur la jetée. L’ambiance y est paisible, on voit les pêcheurs sur leurs barques à rames relever leurs filets et les imposantes dahabbyia bateaux aménagés en habitation pour les croisières de plusieurs jours naviguer tranquillement. Mustapha met la musique à fond pour le retour et autorise les enfants à monter sur le toit du bateau ! Nouveau coucher de soleil magnifique, à la fraîche. Arrivés à la jetée, nous récupérons les deux jerricans de gasoil et disons au-revoir à nos sympathiques capitaine et co-capitaine. Ce soir, Thierry fait sauter les crêpes dehors ! Yahou ! Dernière matinée, dernière visite celle du Musée de Louxor, tout beau, tout neuf, tout climatisé. Avant de nous y rendre, pause-ravitaillement en ville. A la sortie du magasin, alors que les automobilistes se sont gentiment arrêtés de part et d’autre de la chaussée, un motard se faufile entre les rétroviseurs et renverse Sabine qui traversait en toute confiance. Dans sa chute, elle bouscule Grand-Père, et se raye » joliment le genou et la main gauche et surtout, elle écrabouille les briques de lait transportées dans son sac ! .... Le chauffeur de la moto, lui aussi à terre, s’enquiert aussitôt de son état. Il a dû se faire mal car il se tient le poignet. On est quitte ! Ce n’est pas si grave, on se salue et Sabine et son papa regagnent le camion sur le trottoir d’en face. En fait, dans l’histoire, Sabine a aussi eu la fesse entaillée ! Par la poignée de frein de la moto, sans doute. C’est Martin qui lui fait remarquer que sa jupe est déchirée et qu’il y a du sang par terre. C’est malin, notre planning va encore être décalé ! Heureusement, Thierry, l’infirmier de bord, dégaine le pschitt qui pique, en fait ! Il faut arrêter de mentir aux enfants en leur disant que c’est juste pour désinfecter mais que ça ne va pas faire mal ! et les Steri-strips » pour recoudre » l’entaille, qui fait tout de même une vingtaine de centimètres ! Cela va faire désordre sous le maillot de bain… Nous disions donc Musée de Louxor » en avant ! Sabine a repris des couleurs et a une démarche un peu raide, mais on ne va pas partir sans avoir admiré les trésors superbement mis en valeur ! Il y a là des statues, des momies, des objets usuels retrouvés dans les tombeaux, des bijoux, des pièces de monnaie, etc. Hourghada La bonne surprise du jour, c’est que nous n’avons pas besoin d’escorte pour le tronçon de route Louxor-Hourghada ! Il faut croire que les brigands sont cantonnés à la Vallée du Nil… Nous sommes bien soulagés de pouvoir voyager à notre rythme et sans sirène. La route qui traverse le désert de sable puis de montagne est très bonne. Nous atteignons Hourghada à la nuit et établissons notre bivouac en périphérie, sur le parking d’un énorme centre commercial à l’européenne, en face du Mac’Do ». Le lendemain, ayant épuisé tout le gasoil des jerricans de Louxor, nous expérimentons l’activité file d’attente devant la station-service », qui dure trois heures et se solde par l’arrivée miraculeuse du camion-citerne et la distribution tant attendue du précieux carburant. Ceci dit, nous avons mis cette attente à profit en faisant classe et même en déjeunant à bord. La ville qui s’offre à nous diffère vraiment des petits villages aux maisons de terre crue que nous avons vues le long du Nil. Ici, les façades des immeubles de deux ou trois étages sont harmonieuses, colorées, en bon état. Il y a beaucoup de complexes hôteliers qui semblent fonctionner. Evidemment, si l’on regarde de près, les détritus s’amoncèlent à l’arrière des bâtiments et certaines maisons ont l’air bien fatigué… Nous garons le camion à proximité d’une plage privée, à défaut de trouver la plage municipale, et allons goûter l’eau de la fameuse Mer Rouge délicieuse. Les enfants retrouvent instinctivement la position fesses en l’air-mains dans le sable » qu’ils empruntent dès qu’on arrive sur une plage, tandis que Thierry, Valou et François piquent une tête rafraîchissante. Le soir, Sabine, Valou et Martin vont faire un tour sur l’artère principale d’Hourghada, où se succèdent les hôtels, les restaurants et de clinquantes boutiques de bijoux,chaussures, bagages, souvenirs ou articles de plage. La station balnéaire est très fréquentée par les Russes, ce qui explique les nombreuses enseignes en caractères cyrilliques. La côte de la Mer Rouge Le lendemain, nous reprenons la route pour Le Caire. Le décor n’a pas changé désert de sable jusqu’à Suez, avec plateformes pétrolières au large et oléoducs qui longent la route de temps à autres. On voit aussi, de temps en temps, de minuscules bateaux de pêche aux abords de Suez, les pêcheurs installés au bord de la route vendent leur pêche du jour maintenue au frais dans de grosses glacières. Puis apparaissent des complexes hôteliers démesurés, dont certains n’ont pas l’air très occupés… Nouvelle étape d’attente pour le gasoil en cours de route, puis arrivée au Caire, dans le jardin exquis des Frères Dominicains.
HowToPython NumPy HowtosCalculer la distance euclidienne en PythonCréé May-09, 2021 Mise à jour June-20, 2021Utilisez le module NumPy pour trouver la distance euclidienne entre deux pointsUtilisez la fonction pour trouver la distance euclidienne entre deux pointsUtilisez la fonction pour trouver la distance euclidienne entre deux pointsDans le monde des mathématiques, la distance la plus courte entre deux points dans n’importe quelle dimension est appelée la distance euclidienne. C’est la racine carrée de la somme des carrés de la différence entre deux Python, les modules numpy, scipy sont très bien équipés de fonctions pour effectuer des opérations mathématiques et calculer ce segment de ligne entre deux ce didacticiel, nous aborderons différentes méthodes pour calculer la distance euclidienne entre les le module NumPy pour trouver la distance euclidienne entre deux pointsLe module numpy peut être utilisé pour trouver la distance requise lorsque les coordonnées sont sous la forme d’un tableau. Il a la fonction norm, qui peut renvoyer la norme vectorielle d’un tableau. Cela peut aider à calculer la distance euclidienne entre deux coordonnées, comme indiqué numpy as np a = 2, 3 b = 5, 6 dist = printdist Production Nous pouvons également implémenter directement la formule mathématique en utilisant le module numpy. Pour cette méthode, nous utiliserons la fonction qui retourne la somme des éléments, et la fonction retournera le carré des numpy as np a = 2, 3 b = 5, 6 dist = printdist Production La fonction fournit la racine carrée de la autre manière d’implémenter la formule de distance euclidienne consiste à utiliser la fonction dot. On peut trouver le produit scalaire de la différence de points et sa transposition, retournant la somme des example,import numpy as np a = 2, 3 b = 5, 6 temp = a-b dist = temp printdist Production Utilisez la fonction pour trouver la distance euclidienne entre deux pointsNous avons discuté de différentes méthodes pour calculer la distance euclidienne à l’aide du module numpy. Cependant, ces méthodes peuvent être un peu lentes, nous avons donc une alternative plus rapide bibliothèque scipy a de nombreuses fonctions pour le calcul mathématique et scientifique. La fonction renvoie la distance euclidienne entre deux example,from import distance a = 1, 2, 3 b = 4, 5, 6 print b Production Utilisez la fonction pour trouver la distance euclidienne entre deux pointsLe module math peut également être utilisé comme alternative. La fonction dist de ce module peut renvoyer le segment de ligne entre deux example,from math import dist a = 1, 2, 3 b = 4, 5, 6 printdista,b Production Les méthodes des modules scipy et math sont une alternative plus rapide aux méthodes numpy et fonctionnent lorsque les coordonnées sont sous la forme d’un tuple ou d’une connexe - NumPy MathDivision par élément en Python NumPy
Télécharger l'article Télécharger l'article La distance, que l'on désigne le plus souvent par la lettre d, est la mesure entre deux points en ligne droite. Cette distance peut être calculée entre deux points fixes par exemple, la distance chez une personne, qui va du haut de sa tête à sa plante des pieds, c'est la taille ou entre un point fixe et un objet en déplacement. Dans ce dernier cas, on ne peut calculer la distance qu'à un temps T précis. La distance se calcule le plus souvent à l'aide de la formule suivante d = v × t dans laquelle d » est la distance, v », la vitesse et t » le temps de parcours. La distance peut aussi se calculer entre deux points d'un plan grâce à la formule d = √x2 - x12 + y2 - y12, dans laquelle x1, y1 et x2, y2 sont les coordonnées de vos deux points. Entrons dans le détail de ces deux cas de figure. 1 Il vous faut deux valeurs, la vitesse et le temps de parcours. Deux informations sont essentielles si vous voulez pouvoir calculer la distance d parcourue par un objet en mouvement sa vitesse v et le temps de parcours t. Alors, vous pourrez utiliser la formule suivante d = v × t. Afin de mieux comprendre, prenons un exemple. Admettons que vous rouliez à une vitesse de 120 km/h et que vous vouliez savoir quelle distance sera parcourue en 30 minutes à cette vitesse. Votre vitesse est donc de 120 km/h et votre temps de parcours est de 0,5 heure. C'est l'exemple qui nous servira tout au long de cette partie. 2 Multipliez la vitesse par le temps. Le calcul de la distance est d'une simplicité enfantine, puisqu'il suffit simplement de multiplier les deux données. Il faut cependant faire très attention aux unités de ces deux valeurs. Elles doivent être cohérentes. Ainsi, si la vitesse est en km/h et que le temps est en minutes, il faut transformer ces dernières en heures. Pour ce faire, divisez vos minutes par 60. Reprenons notre problème 120 km/h x 0,5 heure = 60 kilomètres. Vous aurez remarqué que les deux données sont spécifiées en heures. Pourtant, les heures disparaissent de la réponse. C'est par ce qu'on a simplifié les unités. Des heures sont en dénominateur vitesse et des heures sont en numérateur temps. On les annule purement et simplement, il ne reste plus que des kilomètres. 3 Il est possible de manipuler la formule pour calculer une des autres variables. La formule de calcul est très simple et donc facile à modifier. Il suffit d'isoler la variable qui vous intéresse, la vitesse ou le temps, en respectant certaines règles d'algèbre. La formule dérivée pour le calcul de la vitesse en fonction de la distance et du temps est v = d/t. La formule dérivée pour le calcul du temps en fonction de la distance et de la vitesse est t = d/v. Admettons qu'une voiture ait couvert une distance de 60 kilomètres en 50 minutes, mais vous vous demandez qu'elle a bien pu être sa vitesse moyenne. On a la distance, le temps, on applique la formule v = d/t. Il faut diviser la distance par le temps, soit 60 kilomètres / 50 minutes. La vitesse est de 1,2 km/min. Vous noterez que l'unité de la réponse n'est pas habituelle, des km/min ! On compte plutôt en km/h. Pour faire la conversion, il suffit de multiplier la réponse par 60, ce qui donne 72 km/h. 4 Cela n'a pas été précisé avant, mais on suppose toujours que la vitesse v » de l'objet en déplacement est constante. C'est pourquoi on parle de vitesse moyenne. Si l'objet en mouvement a des vitesses variables, on prend toujours la vitesse moyenne pour simplifier les calculs. C'est ce qu'on rencontre le plus souvent dans les exercices de mathématiques ou de physique. Dans la réalité, rares sont les objets à se déplacer à vitesse constante, ils peuvent ralentir, accélérer, s'arrêter… Dans notre exemple, nous avons trouvé qu'on roulait à une vitesse moyenne de 72 km/h, puisqu'il avait fait 60 kilomètres en 50 minutes. Admettons maintenant que nous ayons roulé à 80 km/h sur la moitié du parcours, puis à 64 km/h sur l'autre moitié. Vous avez également parcouru 60 kilomètres en 50 minutes — le premier tronçon a été parcouru en 22,5 minutes 60 x 30 / 80 et le second, en 27,5 minutes 60 x 30/64. À un stade plus avancé en mathématiques, on doit utiliser, pour des objets ayant des vitesses variables, les dérivées. C'est nettement plus compliqué ! Publicité 1Trouvez deux points avec leurs coordonnées x », y » et éventuellement z ». On a vu comment on calculait une distance avec un objet qui se déplaçait. On peut aussi calculer la distance entre deux objets ou deux points fixes. Vous le comprenez, ce qu'on a vu précédemment ne nous est d'aucune utilité, puisque les repères sont fixes. N'empêche qu'il y a bien une distance entre eux ! Il existe une formule qui permet de calculer la distance entre deux points fixes, il suffit de connaitre les coordonnées à une, deux ou trois dimensions de ces points. Si ces derniers sont dans un espace à une seule dimension une droite, vous n'avez besoin que de deux coordonnées, les abscisses x1 et x2, par exemple. Dans un espace à deux dimensions un plan, vous aurez besoin des coordonnées complètes des deux points x1, y1 et x2, y2. Enfin, dans un espace à trois dimensions, vous aurez besoin des coordonnées complètes des deux points x1, y1, z1 et x2, y2, z2. 2 Dans un espace à une seule dimension, il suffit de faire la soustraction des deux points. C'est très simple, mais il y a juste une petite difficulté, la soustraction peut être négative, donc il faut prendre la valeur absolue du résultat ce sera la distance entre les deux points. La formule littérale est donc la suivante d =x2 - x1. Concrètement, avec cette formule, on fait la soustraction entre x1 et x2, puis on prend la valeur absolue. Notez au passage comment on figure la valeur absolue c'est le symbole ». Prendre la valeur absolue d'une valeur, positive ou négative, consiste à enlever son signe, si bien que la valeur est toujours positive. Imaginez que vous vous soyez arrêté au bord de la route et que la prochaine ville devant vous soit à 5 km et la dernière ville que vous avez traversée soit à 1 km derrière vous. Question quelle est la distance entre ces deux villes ? Posons que la première ville a comme coordonnées x1 = 5 et la seconde, x2 = -1. À l'aide de la formule, rien de plus simple que de trouver la distance. Voici comment il faut procéder d =x2 - x1 =-1 - 5 =-6= 6 kilomètres 3 Dans un espace à deux dimensions, la distance se calcule en passant par le célèbre mais redoutable théorème de Pythagore. C'est un peu plus compliqué qu'avec une seule dimension, mais c'est faisable. La formule de la distance est alors la suivante d = √x2 - x12 + y2 - y12. En clair, on soustrait les abscisses x » et l'on élève au carré. On fait de même avec les ordonnées y ». On additionne ensuite les deux résultats et l'on prend la racine carrée. Vous avez votre distance ! Cela ne marche que dans un plan cartésien orthonormé par exemple avec les deux axes x » et y ». En deux dimensions, on utilise donc le théorème de Pythagore, qui stipule que l'hypoténuse d'un triangle rectangle est égale à la racine carrée de la somme des carrés des deux autres cotés. L'hypoténuse est le côté le plus long d'un triangle rectangle et représente en fait la distance entre nos deux points. Soit deux points dans un plan cartésien de coordonnées respectives 3, -10 et 11, 7, le premier est le centre d'un cercle, tandis que le second est un point du cercle. Pour trouver la distance entre les deux, c'est-à-dire le rayon, on procède comme suit d = √x2 - x12 + y2 - y12 d = √11 - 32 + 7 -102 = √82 + 172 d = √64 + 289 d = √353 = 18,79 4 Dans un espace à trois dimensions, il faut modifier légèrement la formule précédente. Dans ce genre d'espace, les points ont une troisième dimension z », en plus de x » et y ». La formule de la distance est alors la suivante d = √x2 - x12 + y2 - y12 + z2 - z12. Vous le voyez la formule est quasiment la même, on a juste rajouté la dimension z ». Comme pour x » et y" », on fait la différence des deux coordonnées z », on élève au carré le résultat et ajoute aux autres carrés. Au final, on prend la racine carrée de la somme des x », des y » et des z ». Imaginons que vous soyez un astronaute sorti dans l'espace et que vous soyez à proximité deux astéroïdes. Le premier d'entre eux est à 8 km devant, à 2 km sur votre droite et à 5 kilomètres en dessous. Le second est à 3 km derrière vous, à 3 km sur votre gauche et à 4 km au-dessus de vous. On est bien dans un espace à trois dimensions et vos astéroïdes ont alors comme coordonnées respectives 8, 2, -5 et -3, -3, 4. Le calcul de la distance entre les deux corps célestes s'opère de la façon suivante d = √-3 - 82 + -3 - 22 + 4 - -52 d = √-112 + -52 + 92 d = √121 + 25 + 81 d = √227 = 15,07 km Publicité À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 166 691 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?
Forum Corse 2 réponses Dernière activité le 19/07/2013 à 1219 consulter Itinéraires Corse Corse-du-Sud Signaler emival Le 19 juillet 2013 Bonjour , je vais partir pour la corse du 18 au 28 août avec mon ami et mes 2 enfants et j'aurais aimé savoir le temps que l'on met entre plusieurs villes car il parait qu'il faut compter en temps et pas en kilomètres !Entre - Ajaccio et Olmeto - Olmeto et Sartène - Olmeto et Zonza - Zonza et Quenza -Olmeto et Porto Vecchio - Porto Vecchio et Col de Bavella - Porto Vecchio et BonifacioJe remercie par avance ceux qui pourront me renseigner , j'ai vraiment hâte d'y être !!! ECHANGE DE MAISONS HomeExchange - Echange de maison et d’appartements inscription gratuite HÔTELS Besoin d'évasion ? Réservez votre hébergement dès à présent LOCATION DE VOITURES Le plus grand service de réservation de locations de voitures au monde Services voyage Vol Corse pas cher Location de voiture Corse Séjours Corse Hôtels Corse Campings Corse Petites annonces Corse Compagnon de voyage Corse partir en Corse Transport Location de voiture en Corse Trouver un billet d'avion Réserver sa traversée en ferry Séjour Réserver un voyage sur mesure Réserver avec une agence locale Réserver un séjour bien-être Organiser un séjour adapté à votre handicap Hébergement Réserver un hôtel Louer un appartement Réserver une chambre d’hôte Trouver une location entre particuliers Rechercher des auberges de jeunesse Rechercher en camping Échangez votre logement Sur place Réserver votre activité Découvrir les Calanques de Piana Boutique -5% Achetez vos guides livraison gratuite Guide du routard Corse Le guide de la visite d'entreprise Nos 1200 coups de cœur en France Nos meilleures chambres d'hôtes en France Nos meilleurs campings en France Nos meilleurs hébergements insolites en France Nos meilleurs restos en France Nos meilleurs sites pour observer les oiseaux en France Services Annonces Corse Comment y aller Routard Assurance Indemnisation problèmes aériens Voir aussi Hôtels Corse-du-Sud Hôtels Porto-Vecchio 32 Hôtels Hôtels Bonifacio 28 Hôtels Hôtels Ajaccio 25 Hôtels Hôtels Calvi 24 Hôtels Hôtels Porto 21 Hôtels Hôtels Corte 20 Hôtels Hôtels Bastia 17 Hôtels Hôtels Propriano 15 Hôtels Hôtels L'Île-Rousse 14 Hôtels Hôtels Saint-Florent 13 Hôtels Voir tous les hôtels Corse-du-Sud
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